Sur un plateau dessiné comme un ring, sept danseuses d’exception toutes championnes de battle et membres du groupe Paradox-Sal (groupe d’afro-house exclusivement féminin) révèlent leurs identités. Entre crissements de baskets et cris d’encouragement, sur fond de house-music mêlée aux rythmes africains, les séquences s’enchaînent, électrisent ou émeuvent, contaminent le public de leur puissance. La chorégraphie met en valeur la singularité et la virtuosité de chacune : dancehall, locking, popping ou krump…
Tempête de liberté, Queen Blood est autant un hommage à toutes les féminités qu’une gracile révérence adressée à son regretté chorégraphe Ousmane Sy. Un concentré intime et vibrant de women’s power !